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Lemartois, lisant.

M. Isidore-Athanase Dupuis…

Pénuri, se levant et allant au notaire.

Pardon… une minute ! Je demande la permission de lire quelques vers… que j’ai rédigés… moi-même pour la mariée.

Les invités.

Oui ! oui !

Montaudoin, se levant.

Comment ! Pénuri… tu as songé… ?

Isidore, à part.

Des vers !… si c’est là… son cadeau !

Lemartois.

Mais il faudrait peut-être d’abord lire le contrat.

Montaudoin.

Ah ! ça ne serait pas poli !… puisque mon ami a pris la peine de rédiger des vers…

Les invités.

Les vers ! les vers !

Pénuri, dépliant un papier.

Messieurs, je ne suis point un poète de profession… quand un vers me vient, je l’écris… en attendant l’autre… et pour ne pas le perdre.

Montaudoin.

C’est de l’ordre !

Pénuri.

Je commence… Ah ! il faut dire que ces vers devraient être placés dans un bouquet.

Une Dame, lui passant son bouquet.

En voilà un !