Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 05.djvu/200

Cette page n’a pas encore été corrigée
Antoine.

Diable ?

Théréson, s’attendrissant.

Surtout après l’accident cruel qui m’a rendue veuve à vingt et un ans et demi, et me privant de ce pauvre Marcasse !

Antoine.

Vous avez eu le malheur de le perdre ?

Théréson.

De le perdre ? on me l’a mangé, mon bon !

Antoine.

Mangé !…

Théréson.

Les Cafres, ces coquins de Cafres, ces abominables Cafres !

Antoine, sans comprendre.

Hein ?

Miette, à Théréson.

Anas maï parlar d’aco ?

Théréson.

Laïsso-midi countar aqueou cruel récit.

Miette.

Per vous faïré de pégin !

Théréson.

Noun ! Mis soulageo lou couar.