Page:Labiche - Théâtre complet, Calman-Lévy, 1898, volume 01.djvu/23

Cette page a été validée par deux contributeurs.
UN MOT


Je n’ai pas l’intention d’écrire une préface. Cependant il m’est impossible de commencer cette publication sans remercier ceux de mes confrères qui ont bien voulu m’accorder le concours de leur esprit, de leur gaieté, de leur bon sens et de leur science du théâtre. Je prie donc mes collaborateurs, qui sont tous restés mes amis, de recevoir ici l’expression de ma sincère gratitude et de me conserver une place dans leur affection.


eugène labiche.