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Nonancourt, entrant le premier avec son myrte.
Par ici, mes enfants, par ici !… Sautez le ruisseau ! (Il saute, toute la noce suit et saute le ruisseau.)
Chœur
Air des Deux Cornuchet
Ah ! vraiment, c’est atroce !
Quelle affreuse noce !
Où donc nous fait-on courir
Quand nous devrions dormir !
Nonancourt.
Quelle noce ! quelle noce !
Hélène, regardant autour d’elle.
Ah ! papa ! Et mon mari ?
Nonancourt.
Allons, bon ! nous l’avons encore égaré !
Hélène.
Je n’en puis plus !
Bobin.
C’est éreintant !
Un Monsieur.
Je n’ai plus de jambes.
Nonancourt.
Heureusement, j’ai changé de souliers.
Hélène.
Aussi, papa, pourquoi avez-vous renvoyé les fiacres ?
Nonancourt.
Comment, pourquoi ? trois cent soixante-quinze francs, tu trouves que ce n’est pas assez !… Je ne veux pas manger ta dot en cochers de fiacre !