Page:Labiche, Delacour - Le voyage en Chine, 1964.djvu/95

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
HENRI.
Oui, j’épouserai votre fille.
POMPÉRY.
Vraiment, c’est ce que nous verrons.
HENRI.

Et quelle adorable famille,
Comme nous vous câlinerons,
Nous vous dorloterons.

POMPÉRY.
Mais non !
HENRI.
Mais non !Si !
POMPÉRY.
Mais non ! Si !Non !
HENRI.
Mais non ! Si ! Non !Ô sort heureux !
Le Ciel enfin comble nos vœux !…
Un enfant, deux, trois…
POMPÉRY.
Hein !
HENRI.
Bien roses, bien ingambes,
Qui vous tirent la barbe et vous montent aux jambes,
POMPÉRY.
Mais non !
HENRI.
Mais non !Si !
POMPÉRY.
Mais non ! Si !Non !