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HENRI.
Cet aveu que j’attends…
(Il tousse.)
POMPÉRY, parlé.
— C’est ça, tousse, mon garçon.
MARIE.
Est-il donc nécessaire ?
Ma voix, mon cœur, mes sens,
Tout parle, hélas !
HENRI.
Ah ! tu ne m’aimes pas !
(Il tousse.)
POMPÉRY, parlé.
— Je vais lui offrir de la gomme !
MARIE.
Oui, mon cœur est à toi,
Mon cœur et ma tendresse,
Oui, te voir est pour moi
Un moment plein d’ivresse.
POMPÉRY, parlé.
— À lui, maintenant ; je m’attends à un déluge de couacs.
HENRI.
Oui, mon cœur est à toi,
Oh ! ma belle maîtresse.
POMPÉRY, parlé.
— Il a une voix charmante, l’intrigant !