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Ma chère enfant,
Chante-nous ce duo charmant
Qu’une fois tu m’as fait entendre.
MARIE.
Mais quel duo ?
POMPÉRY.
Ton duo des Aveux.
HENRI, à part.
Celui que chaque soir nous chantions tous les deux.
MARIE.
Y songez-vous ?
POMPÉRY.
Va, ma mignonne.
Je t’en prie (bas) et je te l’ordonne.
(Haut.)
Alidor t’accompagnera.
ALIDOR.
Impossible !
POMPÉRY.
Pourquoi ?
ALIDOR, montrant son gosier.
Mes cailloux… ils sont là.
(Aux dames.)
Excusez-moi… plus tard… demain…
TOUS.
Ah ! quel dommage !