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POMPÉRY.
— Ma fille n’a pas d’autre volonté que la mienne… Je vais la chercher pour le lui signifier devant vous.
HENRI.
— Mais, monsieur…
POMPÉRY.
— Ah ! vous croyez que je cède… On voit bien que vous ne me connaissez pas.
(Il sort.)
Scène IV.
HENRI, ALIDOR ; puis POMPÉRY et MARIE.
ALIDOR, joyeux.
— L’épouser dans un mois !… l’épouser dans un mois !…
HENRI, s’approche d’ALIDOR et le salue.
— Monsieur de Rosenville…
ALIDOR.
— Alidor de Rosenville !…
HENRI.
— Monsieur Alidor de Rosenville, j’ai fait vœu de tuer tous les prétendants de mademoiselle Marie.
ALIDOR.
— Hein ? Plaît-il ?