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POMPÉRY, à ALIDOR.

— Nous, allons voir la digue !

ALIDOR.

— Je connais le commandant du port, grâce à mon oncle, employé supérieur au ministère de la Marine.

BONNETEAU.

— C’est une très bonne connaissance.

ALIDOR.

— Si vous désirez faire demain une promenade en mer à bord de la frégate la Fulmi… Fulmi…

POMPÉRY.

— Nante…

ALIDOR.

— Merci… Je vais aller demander une autorisation pour cinq personnes…

BONNETEAU.

— Pour six… si ce n’est pas indiscret.

POMPÉRY, à part.

— Ah ! mais il se fourre dans notre poche, le notaire.

BONNETEAU.

— En vous attendant, je vais écrire à ma femme et à mes deux filles, Agathe et Sophie… deux bonnes natures.

POMPÉRY.

— Allons, tant mieux !

ALIDOR.

— Je cours chez le co… commandant du port.