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MAURICE.

— Mais il n’a pas osé se déclarer… il est si timide…

BERTHE.

— Oh ! le pauvre garçon !

MARIE.

— Tout à l’heure, j’ai aperçu dans ce salon un jeune homme.

MAURICE.

— C’est lui.

POMPÉRY.

— Eh bien ?

MADAME POMPÉRY.

— Qu’en penses-tu ?

MARIE.

— Mais… il m’a paru fort bien.

MAURICE, à part.

— Bravo ! ça marche !

POMPÉRY.

— Voyons, faites-nous voir cette merveille.

(Musique et chœur au-dehors, HENRI entre à droite.)
MAURICE.

— Je vais vous le présenter.

POMPÉRY.

— Quelle est cette musique ?