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ALIDOR.
— Stu… péfait.
POMPÉRY.
— Ah ! je ne vous refuse pas complètement ma fille… mais je vous engage à vous faire soigner. Allez voir, de ma part, le docteur Moulinet, de la Drôme… c’est un spécialiste. Venez, je vous accompagne jusqu’au chemin de fer.
ALIDOR, saluant MAURICE.
— Monsieur, agréez l’hommage de ma considéra… ra… ra…
POMPÉRY, l’entraînant.
— Non ! ce mot-là est trop difficile… il vous ferait manquer le train.
(Ils sortent par le fond.)
Scène IX.
MAURICE ; puis HENRI DE KERNOISAN.
MAURICE, seul.
— Si celui-là arrive jamais à parler couramment !… Allons, il faut que je cherche un autre mari… Si j’écrivais à M. Bonnefoy pour lui demander son catalogue.
(HENRI paraît au fond ; il est en costume d’officier de marine.)