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MAURICE, de même.

— Mais non… on s’y fait… d’ailleurs, cela se guérit facilement… et cela n’empêche pas de rendre une femme heureuse.

POMPÉRY, à ALIDOR.

— C’est depuis peu que vous avez ce…

ALIDOR.

— Quoi ?

POMPÉRY.

— Ce léger défaut de prononciation.

ALIDOR.

— Non… c’est de nais… nais… naissance.

POMPÉRY.

— Mais cet hiver, nous vous avons entendu chanter.

ALIDOR.

— Quand… quand… je chan… ante, ça ne se voit pas.

MAURICE.

— Là ! vous voyez bien.

POMPÉRY.

— Mais, en ménage, on ne peut pas toujours chanter.

(Musique.)