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POMPÉRY, avec bonté.

— Remettez-vous, monsieur, je comprends tout ce qu’une première démarche a d’embarrassant.

ALIDOR.

— Vous êtes trop po… trop po…

POMPÉRY.

— Comment ?

ALIDOR.

— Po… o… oli.

MAURICE.

— Il bégaye.

POMPÉRY.

— Voilà son défaut.

MAURICE.

— Ah ! je le reconnais !… (À ALIDOR.) Vous avez fait partie de la garde nationale, monsieur ?

ALIDOR.

— Oui, j’ai été ray… ray… rayé… c’est une in… une in…

MAURICE.

— Dignité ?

ALIDOR.

— Non ! non ! une in… une in…

POMPÉRY.

— Famie !