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POMPÉRY.

— Il ne nous a pas été présenté.

MADAME POMPÉRY.

— Non, mais je me souviens que Marie trouvait que sa voix parlait à l’âme.

MAURICE.

— Oh ! alors, ça va marcher.

POMPÉRY.

— Voyons le solide… (Achevant de lire.) M. de Rosenville apporte en dot quatre cent mille francs en actions de la Banque de France.

MAURICE.

— Bonne chose !

POMPÉRY, continuant.

— Dito… deux oncles sans enfants… l’un malade… bon ! et l’autre employé supérieur au ministère de la Marine.

MADAME POMPÉRY.

— Employé supérieur !

POMPÉRY, continuant.

— Je ne connais à ce jeune prétendu qu’un défaut… défaut dont vous vous apercevrez facilement en le voyant.

MAURICE.

— Oh ! qu’est-ce qui n’a pas un défaut ?