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Scène V.
POMPÉRY, MADAME POMPÉRY.
MADAME POMPÉRY.
— Je suis bien aise d’être un instant seule avec toi. Je voulais te parler de M. Maurice.
POMPÉRY.
— Charmant garçon !
MADAME POMPÉRY.
— Oui… Mais ses assiduités commencent à m’inquiéter… il apporte tous les jours des bouquets à mes filles. Il ne fait pas un compliment à l’une sans en adresser immédiatement un à l’autre… Il est temps de le faire s’expliquer, puisque nous partons bientôt pour Trouville.
POMPÉRY.
— Je m’en charge.
MADAME POMPÉRY.
— Je crois qu’il aime la cadette.
POMPÉRY.
— Non, c’est l’aînée.
MADAME POMPÉRY.
— Non, la cadette…