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POMPÉRY.
— Mais… je suis encore d’âge à corriger ce petit faquin.
MADAME POMPÉRY.
— Un duel ! toi !… Tu es fou !
POMPÉRY.
— Mais ce ne serait pas le premier… je tire très agréablement le pistolet.
MARIE.
— Ah ! papa
MADAME POMPÉRY.
— Voyons, calme-toi… Voici M. Maurice qui veut bien passer la journée avec nous.
POMPÉRY, à MAURICE.
— Très bien, jeune homme !… Vous êtes ici chez vous… Je vous dois la vie…
MAURICE.
— Oh ! la vie…
POMPÉRY.
— Oh ! ne recommençons pas ! Voici votre chambre… Liberté complète !
MAURICE.
— Alors, je vous demanderai la permission de réparer un peu le désordre de ma toilette.
BERTHE.
— Nous allons donner à manger aux poissons.
(MAURICE entre à droite, deuxième plan. MARIE et BERTHE sortent par le fond.)