Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
ALIDOR.
— De bon cœur !… Je n’ose pas vous le promettre.
POMPÉRY.
— Et nous célébrerons le mariage en arrivant à Madère.
HENRI.
— Non… à Cherbourg, dont voici la rade.
TOUS.
— Comment ?…
HENRI.
— Depuis ce matin, nous nous promenons… nous louvoyons…
POMPÉRY.
— Pas possible !
HENRI.
— Nous sommes revenus de Chine… Notre voyage est fini.
CHŒUR FINAL.
Tin ! tin ! tin !
Qu’ici l’allégresse
Pour nous tous renaisse
Avec ce refrain :
Tin ! tin ! tin !
Quelle heureuse chance
D’aborder en France
Plutôt qu’à Pékin.
Tin ! tin ! tin !
FIN DU VOYAGE EN CHINE