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BERTHE, indiquant les bouquets.

— Ce sont eux !

MAURICE, offrant ses bouquets.

— Mademoiselle Marie… mademoiselle Berthe…

MARIE.

— Vraiment, c’est trop.

BERTHE.

— Tous les jours, vous n’êtes pas raisonnable !

MAURICE, à BERTHE.

— J’ai tant de plaisir à vous les offrir.

(À MARIE.) Je suis si heureux de vous les voir accepter.

MADAME POMPÉRY, à part.

— Laquelle ? Mon mari le forcera à s’expliquer aujourd’hui même.

MAURICE.

— Mais je ne vois pas M. Pompéry.

MADAME POMPÉRY.

— Il est allé à Paris pour… pour affaires… il reviendra tantôt… Vous dînez avec nous…

MAURICE.

— Excusez-moi… mais…

MARIE.

— Oh ! restez, monsieur Maurice.

BERTHE.

— Oh ! ne vous en allez pas, monsieur Maurice.