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BERTHE.
— Et il aime les fleurs !… Il vient tous les jours de Paris avec deux bouquets… un pour ma sœur, un pour moi…
MADAME POMPÉRY, à part.
— Il est évident qu’il recherche une de mes deux filles… mais laquelle ?…
(Haut.)
Berthe, comment trouves-tu ce jeune homme ?
BERTHE.
— Oh ! très bien ! très aimable !
MADAME POMPÉRY.
— Et toi, Marie ?
MARIE.
— Oh ! très bien ! très aimable !
MADAME POMPÉRY.
— Oui ! (À part.) Je ne suis pas plus avancée.
Scène II.
Les mêmes, MAURICE.
MAURICE, paraissant avec deux bouquets.
— Mille pardons, mesdames.
MADAME POMPÉRY.
— C’est lui !