Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
HENRI.
— Martial !…
MARTIAL, s’approchant.
— Capitaine ?
HENRI.
— Quelles sont les provisions du bord ?
MARTIAL.
— Deux pains de quatre livres.
MADAME POMPÉRY.
— Pour quatre mois…
MARTIAL.
— Un tonneau de rhum…
HENRI, à POMPÉRY.
— Nous ferons du punch.
MARTIAL.
— Trois canards maigres… un baril d’olives et soixante-quinze mille paires de guêtres. Voilà !
BONNETEAU.
— Comment, c’est tout ?
MADAME POMPÉRY.
— Mais c’est la famine !
ALIDOR.
— Ah ! moi… je n’ai pas faim.
HENRI.
— J’avoue que c’est peu pour aller en Chine, mais avec de l’ordre, de l’économie…