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MADAME POMPÉRY.
— Oh ! il n’est pas breton pour rien !… et quand il a dit : Non ! c’est pour la vie.
BERTHE.
— C’est bien vrai ! Avant-hier encore il a eu une discussion des plus violentes avec M. Maurice Fréval.
MADAME POMPÉRY.
— Ton père prétendait que ce jeune homme lui avait sauvé la vie, M. Maurice s’en défendait.
BERTHE.
— Si. — Non. — Si. — Non.
MADAME POMPÉRY.
— Cela a duré vingt minutes.
BERTHE.
— Et M. Maurice a été obligé de céder.
MARIE.
— Je ne vois pas dans quelles circonstances il aurait pu sauver la vie à mon père.
MADAME POMPÉRY.
— Ni moi ! Certes, je ne veux pas jeter de défaveur sur ce jeune homme… il est charmant, spirituel, bien élevé…
BERTHE.
— Et officier d’état-major.
MARIE.
— Dans la garde nationale.