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BONNETEAU.
— Les autres sont sans doute emballés et serrés.
POMPÉRY.
— Il faudrait nous informer. (Regardant le hamac.) C’est ennuyeux, un capitaine qui dort toujours… Si, en attendant son réveil, nous visitions la machine !
BONNETEAU.
— Moi, je voudrais voir la sainte-barbe.
ALIDOR.
— Moi, la cuisine…
POMPÉRY, apercevant MARTIAL, qui passe au fond.
— Eh ! mon brave !
MARTIAL.
— Monsieur ?
POMPÉRY.
— Est-il permis de visiter la machine ?
MARTIAL.
— Certainement. (Indiquant l’escalier.) Si ces dames veulent prendre la peine de descendre…
POMPÉRY, à BONNETEAU.
— Il est très poli… Vous lui donnerez trente sous… Nous réglerons plus tard.
BONNETEAU.
— Soyez tranquille, j’écris tout.
POMPÉRY, à ALIDOR.
— Venez-vous ?