D’autres années passèrent. Un jour, je reçus de Rome une carte postale, une carte montrant la Louve allaitant Romulus et Rémus et portant un seul mot : Amitiés. Ce fut là le dernier message que je reçus de Zo d’Axa. En 1930, une lettre de Marcel Dugas m’apprit sa mort.
Victor Méric, journaliste, est l’homme qui a écrit sur Zo d’Axa les pages les plus éloquentes, les plus justes et les mieux senties.
Zo d’Axa a été la Voix de la conscience, la Voix de l’honneur, la Voix de la justice, la Voix de la pitié, la Voix de l’humanité. Et maintenant, cette Voix est muette, cette Voix s’est tue à jamais, mais elle résonnera longtemps dans la mémoire de ceux qui ont connu cet homme de cœur et de courage et qui gardent pieusement son souvenir.
