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LE CHEMIN DU MONASTÈRE

Qu’ont-ils donc à fatiguer le ciel de leurs supplications, ces infortunés ? C’est comme si toutes les merveilles du globe n’existaient pas pour eux.

Je retourne à ma retraite, à la maison blanche devant la calme rivière, où mes jours s’écoulent dans une félicité comme n’en connaîtront jamais ces jeunes hommes entrevus sur la véranda du monastère.