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STANCES


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Il est de ces momens où mon ame craintive
Voudrait, brisant enfin le nœud qui la captive
Déposer à tes pieds l’aveu de son amour ;
Où, pareil à l’oiseau que l’œuf retient encore,
Cet aveu, sur ma lèvre impatient d’éclore,
Libre, va m’échapper, va s’élancer au jour.