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NOTES




P. 6, l. 5. — Toutes les recherches faites en France, en Espagne, en Italie et en Allemagne pour trouver, avant 1550, l’expression par la plume ou par le dessin de l’idée mère du Débat de Folie et d’Amour sont demeurées sans résultat.

Dans le Journal de Jean Héroard (Soulié et Éd. de Barthélémy, à Paris, chez Didot, 1868) on lit, t. II, p. 115, le 5 janvier 1616 : « Le baron de Lux tué par M. le chevalier de Guise à l’entrée de la rue de Grenelle. Le roi fait jouer une comédie françoise De la Folie et de l’Amour aveugle ; il va en la salle de la comédie. »


P. 6, l. 20. — On connaît un Jean Dagoneau ou Dagonneau, protestant mâconnais, qui, avec ses frères, prit une part active aux guerres de religion. La paternité de la Légende de Domp Claude de Guyse lui est généralement attribuée ; mais, malgré les indications obligeamment fournies par M. Tamizey de Larroque, il m’a été impossible de savoir si cet ouvrage n’appartiendrait pas, au moins en partie, à Gibbert-Regnault, seigneur de Vaux. La