vons cette expression franco-latine pour constater combien elles sont extrêmement rares dans les œuvres de la Belle Cordière et combien elle a peu donné, malgré l’exemple de la majeure partie de ses contemporains, dans le travers ridiculisé par Rabelais.
P. 81, v. I. — C’est-à-dire la lyre de Sapho, née dans l’ile de Lesbos.
P. 81, v. 20. — Conſommer. Longtemps après Louise Labé, on a encore employé consommer dans le sens actuel de consumer.
P. 83, v. 17. — Eſtranger, rendre étranger, rendre différent ; de même qu’ailleurs (page 23, lig. 7), on a lu : « Au plus eſtrange, » c’est-à-dire à l’être qui serait le plus étranger, le plus indifférent.
P. 85, v. 11. — Le Pau cornu. Cette orthographe du Pô, Padus, serait plus logique. Quant à l’épithète de cornu, elle est classique. (Voir Virgile et Ovide.)
P. 86, v. 16. — C’est-à-dire depuis deux mois, depuis deux pleines lunes.
P. 86, v. 29. — Calpe & Pyrenee : l’Espagne ; Calpe est l’ancien nom de la pointe de Gibraltar.
P. 87, v. 28. — Les éditions originales portent : « Mourant d’une Amour. Lequel… »
P. 89, v. 25. — Celle-là : Arachné…
P. 94, v. 14. — Ce sonnet, dont les deux quatrains sont identiques à ceux du LVe des Soupirs d’Olivier de Magny (pa-