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LETTRES ÉPISCOPALES.

« Le clergé et les fidèles auront enfin une traduction autorisée des saintes Écritures. Je vous félicite et vous remercie, pour ma part, de nous l’avoir donnée. Lorsque l’occasion s’en présentera, je me ferai un vrai plaisir de recommander votre ouvrage.

« Agréez, etc.« † Jean, Êvêque de Cahors. »


« Monsieur l’Abbé,

« D’incessantes occupations ne m’ayant pas encore permis de lire au moins une partie notable de votre traduction du Nouveau Testament, dont vous avez bien voulu m’offrir un exemplaire, je suis bien en retard pour vous remercier et vous féliciter de ce précieux travail. Mais, en attendant que le temps me laisse libre d’en lire davantage, j’ai besoin au moins de vous dire que ce qui a déjà passé sous mes yeux m’a inspiré de la confiance et un vif intérêt. A vos sérieuses études des langues et de la science biblique se trouve jointe l’approbation du Saint-Siège, qui donne un grand prix à cette œuvre. Aussi n’hésiterai-je pas à le recommander au clergé de mon diocèse.

« Recevez, etc.« † L. C, Êvêque de Clermont. »


« Monsieur l’Abbé,

« Si j’avais reçu l’exemplaire de votre traduction du Nouveau Testament, je me serais empressé de vous remercier. Je tenais beaucoup à connaître cette traduction, voilà pourquoi je l’achetai chez M. Jouby.

« Le Père Modéna me parla beaucoup de votre travail. Je lui dis que j’avais lu avec la plus grande attention votre traduction du Nouveau Testament, et que j’attendais avec impatience l’Ancien. Je lui exprimai toute ma satisfaction de la lecture que j’avais faite.

« Vous avez rendu à la religion, à la science sacrée un grand service par votre traduction de la Bible. Mes collègues dans l’épiscopat seront heureux, comme moi, de la voir se répandre dans tous les diocèses de France. J’espère que vous en annoncerez bientôt la publication.

« Veuillez agréer, monsieur l’abbé, l’assurance de ma respectueuse considération,

« J. L. M. Cardinal de Bonald, Archevêque de Lyon. »

« Monsieur l’Abbé,

« Je viens un peu tard, parce que j’ai voulu le faire en connaissance de cause, vous adresser mes remerciements les plus sincères pour votre sainte Bible traduite en français.

« Vous avez comblé une lacune essentielle, et rendu un véritable service à l’Église de France en lui offrant une traduction des Livres saints dont l’orthodoxie est garantie par la révision et l’approbation du Saint-Siège. Des études consciencieuses et approfondies sur les langues et les sciences bibliques, de longues années d’un enseignement dont il m’a été donné d’apprécier le mérite, vous avaient préparé à ce beau et utile travail, qui sera le digne couronnement d’une vie consacrée tout entière à l’interprétation et à la défense des saintes Écritures.

« Tous ceux qui connaissent votre Nouveau Testament font des vœux pour que l’Ancien ne tarde pas à paraître, et vienne compléter une œuvre appelée à produire