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CHAPITRE V

OÙ MOSSIEU LA VRILLE PLONGÉ DANS LA LECTURE DU JOURNAL DE JULIETTE, NE REPARAÎTRA QU’À LA FIN DE L’OUVRAGE. — EN ATTENDANT, PRIEZ POUR LUI !

Voyez-vous ça ! Ce bouffi qui veut me faire la morale ! Eh va donc !

Il faut cependant que je l’avoue, j’éprouve quelques scrupules. Cela vous étonne ? Moi aussi. Eh oui, je crains, j’ai peur, je n’ose… Il y a trop de fautes d’orthographe dans le manuscrit de Juliette, et si je l’envoie comme cela aux typos, on pourrait m’accuser de ne pas connaître mon français ; cela pourrait me faire du tort auprès du Secrétariat de la rue de Grenelle où, depuis si longtemps, je