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POR éveque. ]-âp ou pàb, m. Pl. paled. Eskop, m. Pl. (skep ou eskibien, et, en Vannes, eskobed. 11 est compté paimi les pontifes, elouez ar iabed ou ann eskeb eo nivérct. PoATiFiCAL, adj. Qui appartient à la dignité de pontife, de pape, d’évéque. A zell out karg eur pdb, eunn eskop. Pontifical, s. m. Livre à l’usage du pape, de révêque. Léor eur pàb, ewnn eskop. PoMiFiCALEMENT, adv. D’une manière pontificale. Ê doaré etir pàb, pé eunn eskop. Pontificat, s. m. Dignité de pontife, de pape, d’évéque. Karg ou rén eur pàb. Pabach, m. Karg ou rén eunn eskop. Eskopded ou eskobiach, m. Ponton, s. m. Pont flottant. Poñl warflod. Populace, s. f. collectif. Le bas, le menu peuple. Tudigou ou ludouigou, m. pi. Livastred, m. jA. Disiéred, m. pi. On la vu au milieu de la populace, é-kreiz ann dvdigou ou «i livaslred eo bel guélel. Ar bobl munud. PopULAciER, adj. Qui appartient au bas peuple, à la populace. A livaslred. A zislered. Il a des habitudes populacières, boasiou livaslred ou disléred en deüz. Poi’CLAiRE, adj. Qui est du peuple, qui concerne le peuple. A zell ouc’h ar bobl. Eûz ar bobl. C’est une erreur populaire, eur fazi eûz ar bobl eo. PoPLLAiRE. Qui se fait aimer du peuple. A car gounid karañlez ar bobl. Vérités populaires répandues dans toutes les classes de la société et surtout dans les classes inférieures. Gwirioncsioua zô skiñel dré-holl, ha dreisl pep-lrà é-louez ar bobl. PoPLLAiREMENT, adv. A la manière du peupie. É doaré ar bobl. Populariser, v. a. Mettre à la portée du peuple. Lakaad é doug ou e gwiziégez ar bobl. Se populariser, v. réfl. Flatter le peuple pour gagner son aflection. Rei lorc’h d’arbobl. Hilliga hé galoun d’ar bobl. Popularité, s. f. Caractère de ce qui est populaire. Ar péz a zell ouc’h ar bobl. Popularité. Affection, amitié, estime venant du peuple. Karañlez ou sldd a-berz ar bobl. Populatiox, s. f. L’action de peupler. Poblérez ou pobladur, m. Population. La quantité d’habitants que renferme un pays. Allôd liid a zô cnii curvrô. Populeux, adj. Peuplé et favorable à la population. Poblel mdd. Màd évid ar poblérez ou ar pobladur. Pobacé, adj. En terme de médecine, il se dit des humeurs dont la couleur verdàlre tire sur celle du poireau. Gldz-pour. Porc, s. m. Cochon mâle. Penn-môc’h ou pémôc’h, m. Porc’hel, m. Houc’h, m. Tourc’h, m. Nous avons acheté un porc, eur pémôc’h ou eur porc’hvl hon eûz prénet. Du porc, de la chair de porc, Kih-môc’h, m. Il n’aime pas le porc, na gâr kéi ar c’hihmôc’h. La partie maigre de la viande de porc. Bc-POR

vin, m. En Tréguier et Vannes, beouein. Porc frais, la chair du cochon qui n’est pas salée. Kik-môcli dizall. Kitévardon, m. Côtelettes de porc frais non séparées. Ramskoaz, ra. Marchand de porcs. Môc’haer, m. Pl. ien. . Porc-Epic, s. m. Animal dont le corps est couvert de piquants ; c’est une espèce de hérisson. Heûreûchin-reûnck, m. Porc-Marin, s. m. Gros poisson appelé autrement marsouinou dauphin. Per. n-môc’h-vôr, . m. Môrhouc’h, m. Porc-Sanglier, s. m. Porc sauvage qu’on appelle ordinairement sanglier. Penn-môc’hgouéz, m. Porche, s. m. Portique, lieu couvert à l’entrée d’une église. Léac’h gôlôel é-ldl eunn iliz. * Porched, m. Pl. ou. Porcher, s. m. Celui qui garde les porcs, les pourceaux. Faotr-ar-môc’h, m, Môc’hei ou môchaer m. Pl. ien. Pore, s. m. Petit trou, petite ouverture presque imperceptible dans la peau de l’animal, par où se fait la transpiration et par où sort la sueur. TouHouigou munud ha siañk a zô er chroc’hen. TouHouigou ar c’houéz. Poreux, adj. Qui a des pores. Leûn a doullouigou munud. Tvullek. Spouéek ou spouéuz. Porphyre, s. m. Marbre extrêmement dur. Marpr kalel brdz. Porreau. Voyez Poireau. Port, s. m. Lieu propre à recevoir les navires au les vaisseaux et à les tenir à couvert des tempêtes. Il se dit figurément de tout lieu de repos, d’assurance, de tranquillité. l’ors ou porz, ra. Pl. porsiou ou porziou. Nous sommes près d’un port, émomp lôsl da eur pors. Nous relâchâmes à l’embouchure du port, é aber arporz é paouézchomp. Abordons à ce port, douaromp er pors-mañ. Arriver au port, entrer dans le port. Moñd er pors. Porsia. Part. porsù’t. Nous arriverons au port avant la nuit, porsia a raimb abarz ann nôz. Port. Ce qu’on peut porter, ce qu’on paie pour le traüsport de marchandises, etc. Doug, m. Dougadur, m. Je ne connais pas le port de ce navire, «a anavézann kél ann doug eûz al léslr-zé. Vuilà pour le port de mes hardes, chélu évid ann doug ou ann dougadur eûz va dilad. Port. Le maintien, la contenance d’une personne. Da’. c’h, m. Kendalc’h, ra. Doaré, i. Il a un beau port, eur c’hendulc h kaer, eunn doaré gaer en dcûz. PoRTAHLE, adj. Qui peut se porter, se soulever. A helleur da zougen. Vouguz. Portage, s. m. Action depoiter. Doug, m. Dougadur, ra. Dougérez, ra. Portail, s. m. La principale porte d’un édifice, avec les ornements qui raccompagnent. Vôr-dàl, f. Allons nous mettre à l’. ibri de la pluie sous le portail, déomp da zisc’hlavi dindàn nnn ôr-ddl. PoiiTAiL. La façade entière d’une église.