dennih, f. Pl. prêvédigou. Melc’houèdennik, f. Pl. melelioucdigou.
Loche de mer, poisson. Bloñlek, m. Pl. lloñléged. On dit aussi lonlek. Kerluz, m. Pl. éd.
LocHER, V. n. Il ne se dit qu’en parlant d’un fer de cheval qui branle et qui est près de tora ber. Luska. Part. et. Luskella. Part. et. Horella ou horjella. Part. et. Héja. Part. et. Kéfluska. Part. et. Loc’ha. Part. et.
Lochies, s. f. pl. En terme de médecine, flux de sang qui arrive aux femmes après l’accouchement. On les appelle aussi vidanges. Réd-gwdd ou dlwad goudé ar gwilioud.
LocMAN. Voyez Lamaxecr.
Locution, s. f. Expression, façon de parler. Komz, f. Pl. komsiou ou komzou. Lavar, m. Pl. iou. Gér, m. Pl. iow. C’est une locution du pays, eul lavar eo hag a z6 eûz ar vrô. LoDS, s. ra. pi. Terme de pratique qui n’a d’usage qu’avec le mot de ventes. Le droit de lodsel ventes était la redevance qu’un seigneur censier avait droit de prendre sur le prix d’un héritage vendu dans sa censive. Gwir ar werzidigez, m.
Loge, s. f. Petite hutte, petit réduit, petite cellule, petit local. Lôk ou lôg ou loch, f. Pl. ou. Làb, m. Pl. ou. Skiber, va. Pl. iou (Corn.) Gôdôer, m. Pl. iou. La loge est au milieu du bois, é-kreiz ar c’hoad éma al lôg, ar gôdôer. Logeable, adj. Où l’on peut loger, qu’on peut habiter. A helleur da clwum enn-hañ ou da annéza. Annézuz. C’est une maison logeable, eunn ii eo hag a helleur da choum ennhañ, eunn li annézuz eo.
Logement, s. m. Lieu où on loge ordinairement. Appartement. Ti, m. Pl. tlez ou ticr. Kéar ou ker., f. Pl. keriou.* Lojéiz, f. C’est ici son logement, aman éma hé di, hé géar. Loger, v. n. Habiter, faire sa demeure, son séjour. Choum, par abus pour chouma, nori usité. Part. choumel. On ditaussi chémel, à "
[ii{. Annéza. Part. et. Il y a longtemps qu’il loge dans cette maison, pell-zô é choum enn li-zé, écli annez ann ti-zé. Loger, v. a. Donner le couvert à quelqu’un dans un logis. Rei ti. Rei dlgémtr. Ihrbercliia. Part. herberc’hiet. Je ne puis pas vous îoger, nhellann két rei ti d’é-hocli, nhellann kéd hoc’h herberc’hia.
Se loger, v. réll. Se faire un logement, se bâtir une maison, se placer, s’établir. Séiel eunn li. En em annéza. Kaoud eunn li. En em herberc’hia. C’est ici qu’il se logera, aman eo é savô eunn ti. Il aura de la peine à se loger, béach en dévézô oc’h en em herberc’hia, kaoud eunn ti.
Logette, s. f. Petite loge. Lôgik, f. Pl. lôgouigou. Lôgel, f. Pl. lôgellou. Gôdôérik, m. Pl. gôdôériouiyou. Voilà sa logelle, chélu hé lôgik ou hé lôgel.
Logeur, s m. Celui qui loge des étrangers dans sa maison. Néb a rô digémer enn hé di. Annézer, m. Pl. ien. Uerberc’hier, m. Pl. ien. Logique, s. f. Science qui enseigne à rai-LOI
sonner juste. Gwiziégez é kéñver homza gañ^ fumez.
Logis, s. m. Habitation, maison. Tt, ra. Pl. liez ou lier. Kéar ou ker, f. Pl. keriou. Il a dîné au logis, Icined en deûz enn li, ergéar. Logis. Hôtellerie, auberge. Herherc h, f. Vous trouverez-là bon logis, herberc’h vdda gafod énô.
Logomachie, s. f. En terme didactique, dispute de mots. Slrif-geriou, ra. Loi, s. f. Règle qui oblige les hommes à cer taines choses ou leur en défend d’autres. I. ézen’, f. Pi. lézennou. Rciz, f. Pl. reizou ou reisiou. Je ne connaissais pas cette loi, na anavézenn kéd al lézen-zé. C’est d’après la loi, hervez ar rciz eo. Nous devons tous observer les lois, béz’ é lléomb holl miroud al lézennou. La loi de Dieu. Lézen Doué.
La loi ecclésiastique. Lézenn ann iliz. La loi du talion. Lézen ann hével-boan. Sans foi ni loi. Hép nafciz na reiz. Loin, adv. elprép. A graide distance. Pell. Diabell. Lark. J’étais loin quand il est arrivé, pell é oann pa eo deûet. Je l’ai vu de loin, a ziabell cm eùz hé ivc’let. Il est ici loin de son pas, pell émaamañ diouc’h hé vrô. Nous allâmes loin, lark éz éjomp.
Au loin, dans un lieu, dans un pays reculé. Enn eul léac’h pell. Enn eur vrô bell. Fort loin. Pell hrdz. Pell pé belloc’h. Plus loin. Pelloch. Dreist. Trcûz. Vidreùz. Allez plus loin, it pelloc’h. Il ie jeta plus loin, hé deùrel a réaz dreist ou didreùz. De loin à loin, à une distance considéraide du lieu, du temps, eu égard à la chose dont on parle. A-bell-é-pell.
Loin de, au lieu de. E-léac’h. Loin de l’apaiser, il l’irrite, e- ?cac’/i hé habaskaat, hel iaka da vuanéhaat.
Lointain, adj. Qui est fort loin du li<ni où l’on est ou dont on parle. Pell. A beU. W est actuellencnt dans un pays lointain, enn eur vrô bell éma bréma. W vient des régions lointaines, cù^ar brôioupell, eûz ar brôloua belle tcû. Lointain, s. m. Éloignement. Pelder ou pellder, m. Keit rrâz, f. Hét ou héd brdz, m. Je le vois dans le loiolain, er pelder, enn eur geit vrdz, euz a bell hen gwélann. LoiH. Voyez Liron.
Loisible, adj. Qui est permis. Il vieillit. Aolréet. Gratéct. Diverzet. Cela n’est pas loisible, 7ié héd notréel ou diverzet kément-sé.
Loisir, s. m. Temps où l’on n’a rien à faire. Espace de temps suffisant pour faire quelque chose commodément. Arzaô, m. Amzer, f. Didalvoudégez, f. Très, m. Aricarégec’h, f. Vann.) Si vous avez un peu de loisir, mar hoc’h eùz eunn nébeûd a arzaô ou a amzer. A loisir, h son aise, à sa commodité, sans se presser. Enn éaz. War éaz. Pa vézô amzer. Hép difré. Héb hast. Vous le ferez à loisir ou à votre loisir, pa hô pézô amzer ou enn éaz ou hép difré ou pa dizot é réot kémeñt se. Avoir du loisir, du temps. Kaoud amzer. Arzaôi. Part. arzaôet. lîéza dibréder. J’ai du