Eh ! jeune homme distingué,
Nourrisson des belles-lettres,
Ne va pas te fatiguer
À chercher ta raison d’être !
C’est assez
Ressasser
Des bêtises dans ta tête !
Descends plutôt au bord des quais
Fumer ta cigarette.
Vois, d’abord, comme il fait noir,
Ce soir,
Tout le long, le long des bateaux-lavoirs.
Vois comme il ferait bon
Sous les arches des ponts
Pour un cœur vagabond
Qui ne veut plus d’histoires !
La nuit d’été
Sur la cité,