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Sur un siége doux et tel
Qu’il faut pour la fouterie,
Comme dessus un autel,
Ayant enfilé Sophie,
Avec mon vit bien tendu,
Au Dieu Con je sacrifie
Avec mon vit bien tendu,
Je l’encense à coups de cul.

Mes hymnes sont des soupirs,
Qui valent bien des cantiques,
Le plus exquis des plaisirs,
Soutient mes accens lubriques.
Le foutre de mon brandon
Ouvrant ses sources mystiques,
Le foutre de mon brandon,
Asperge enfin le Dieu Con !