Page:La Science pratique des filles du monde, 1833.djvu/93

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 81 —

Ils y ajoutent un caractère, un simulacre de dévotion et de mysticité.

Lorsqu’ils tirent un coup chez eux, c’est sur une table faite comme une espèce de piédestal qui figure un autel, il est recouvert d’un tapis blanc qui l’entoure et dessus est un coussin avec des glands, pour placer la femme qui doit être très-saintement foutue. Le célébrant est nu ainsi que la fouteuse, elle ouvre les jambes, il fait une génuflexion, lui baise le con, y place la tête de son vit, alors la sainte et honorée garce lui croise les jambes sur les reins, lui passe les bras autour du cou, et les deux acteurs remuent la charnière et déchargent ; ils se rincent ensuite les parties génitales et chantent le Gloria in excelsis Deo. — Gloire au Dieu Con !