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ainsi pendant qu’elle suçait le vit d’un autre camarade. Elle jouissait comme une dévergondée, et le foutre lui coulait dans la gorge et dans le con.

Elle voulait prendre sa revanche, parce que, disait-elle, cela l’avait mise en belle humeur ; un homme forma le cerceau sur la table, il bandait et son vit se présentait de manière à défier un con ; la femme l’enfila elle-même et faisant toute la besogne, elle fit décharger son partenaire, en lui lançant elle-même son foutre. À sa demande, une de ses amies, lui mit le doigt dans le cul, pour augmenter le bonheur qu’elle éprouvait.

Air : C’est toujours autant de fait.

Lorsqu’une femme maline,
De son corps forme un cerceau,
Fouteurs, glissez votre pine,
Dans la bonde du conneau,
Qu’un autre la foute en bouche,
Et la garce au même instant,
Reçoit une double douche,
Rien n’est plus divertissant.