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teurs sans chemises ; un des hommes se place sur le lit ou sur le canapé ; il bande, la femme se met sur lui et s’insinue le vit dans le con, en faisant langue fourrée. Le second fouteur encule alors la femme, et lorsque les deux vits sont chacun dans leur fourreau, alors c’est au trio à remuer le cul à qui mieux mieux, il est impossible de ne pas décharger à outrance. S’il y a quatre fouteurs, ils peuvent encore s’enculer pour taper plus ferme et mieux bourrer la fouteuse. Le quatrième fouteur n’est pas aussi heureux que le second, il en est de même du premier, mais on n’est jamais heureux qu’à moitié dans ce monde.

Avoir en même temps, vit au con, vit au cul,
Puis en jouir à la bouche, que veux-tu ?
C’est plus que le bonheur suprême,
Et rendre jaloux le ciel même !
Honneur à la noble putain,
Qui connaît un pareil destin !
Ô vous qui marchez sur ses traces,
De Vénus implores les grâces,
À Priape offrez tous vos cons !
De leurs vits, et de leurs couillons,
Les paillards vous feront hommage,
De votre ardeur de foutre ils calmeront la rage !