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et que le vit touche à la sienne. Alors l’amant met la langue dans le con, et chatouille le clitoris ; la nimphe suce la pine et caresse le prépuce avec la sienne. Ils peuvent encore, l’un et l’autre, se donner le postillon, une amie complaisante peut avoir un petit paquet de jonc ou de roseau et frapper légèrement sur la croupe et les fesses de la femme, il lui est même permis de se branler et le trio déchargera en communauté.

Il est bon de se rincer le cul, le con et le vit, avant l’opération, et ce, avec de l’eau parfumée, parce qu’il faut chasser l’odeur de marine.

La gamahuche
Fait les délices de Léon
Et sans qu’une putain s’épluche,
Il la retrousse sans façon,
La gamahuche.

Je gamahuche,
Mais je ne voudrais pas d’un con
Qui fut large comme une hûche,
Lorsqu’il est propre et qu’il sent bon,
Je gamahuche,