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prend à la poudre, mais l’enfant crie, il faudrait le prendre dans ses bras, mais comment baiser.

Eh ! mes enfans, mes bons amis, ne vous désolez pas. Vous, Monsieur, approchez une chaise du berceau, troussez votre femme, placez-la sur vos genoux en lui portant la pine dans le con ; de ses deux mains elle berce son fils, vous embrasse de côté, vous remuez le cul, vous déchargez ensemble, vous avez du plaisir, l’enfant dort et le ménage est en paix. Le mari se plaît à répéter :

Je suis père d’un gros garçon,
Que je crois bien de ma façon,
Amis en voici la raison :
C’est que de sa mère,
Qui m’est toujours chère,
Je n’ai jamais quitté le con,
Pour celui d’une vezon.

L’autre jour par amusement,
Comme elle berçait son enfant ;
Par derrière la saisissant,
Je fous la commère ;
Ah ! pour un bon père !
C’est un plaisir bien ravissant,
De foutre en berçant son enfant.