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tre, ou des guinguettes de notre capitale, lorsqu’ils mettent leurs crins-crins d’accord. Cette harmonie du con et du cul en vaut bien une autre.

La décharge s’annonce, on donne le dernier coup de cul, la tête du vit touche l’entrée de la matrice, le foutre brûlant jaillit avec fureur comme la lave du Vésuve, le réservoir de la fouteuse s’ouvre, elle lâche, en fermant ses beaux yeux, sa précieuse liqueur et le duo meurt de plaisir, pour renaître et recommencer. Je finis, car je bande en traçant ces mots, et je serais réduit à me branler.