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rine annonce l’appétit dévorant. Aussitôt le fouteur enjambe la femme, se baisse, lui passe les mains sous le croupion ; son vit se trouve précisément à l’embouchure du con, il enfile la dame, et faisant aller et venir son vit, il la fout amoroso : il peut encore lui faire langue fourrée.

Ce qui ajoute au plaisir des deux conjoints, c’est que les couilles du fouteur battent la générale sur le trou du cul de la donzelle.

Par adjutorium, le fouteur pourrait insinuer un bâton de sucre d’orge dans le troufignon de la princesse : les roupettes le feraient pénétrer, et lorsqu’ils auraient terminé, ils le suceraient de compagnie. Cette petite douceur serait du métier.