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Mes chers amis, Dieu merci,
Je sais fuir la gêne :
Et j’aborde sans souci
Où le sort me mène :
Si je suis trop fatigué,
Ma belle arrive, et morgué
Quand j’enconne Hélène
Ô gué,
J’encule la peine.

De peur de m’user trop tôt,
Quand je baise Hélène,
Je ne vais pas comme un sot,
Foutre à perdre haleine :
Moi, sans être fatigué,
Je veux jouir morgué ;
Quand j’enconne Hélène
Ô gué,
J’encule la peine.