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du compliment, mais il doit vous souvenir qu’un jour sur une envie qui me prit de vous le mettre, non en vérité, que l’on puisse être friand de votre carcasse, mais uniquement parce que je m’imaginais qu’ayant si longtemps servi de plastron, vous pourriez m’apprendre quelque chose de nouveau, vous m’avez dit que si vous vous prêtiez à ce que je désirais, c’était par complaisance, que vous ne foutiez plus vous même et que vous vous borniez à faire foutre les autres.

Après une déclaration aussi précise, il est évident que mon recueil vous est inutile. À quel usage puis-je donc croire que vous le destinez ? Attendez… mais non… cependant… s’il était possible de vous supposer du zèle pour les amusemens de vos concitoyens, et de penser que vous n’êtes dans l’intention de vous en servir que pour répandre dans le monde le goût