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ble de dire de meilleur, il n’est pas inutile de démasquer un peu le pèlerin, pour le profit de madame Eustache que je n’ai pas l’honneur de connaître ; (et cette raison est la vraie) pour celui de mon amour-propre.

Le lecteur saura donc que M. Fendlair avait prudemment supprimé le début de cet ouvrage, qui contient pourquoi et comment la demoiselle C… l’avait composé, et avait imaginé de le remplacer par son épître à madame Eustache, afin sans doute, de faire croire à cette dernière, que ce recueil était de son cru, et en obtenir pour représailles la faculté d’avoir chez elle, ainsi qu’il l’annonce lui-même, ses entrées gratuitement, ou du moins à bon marché. La dame Eustache fera de ce petit éclaircissement l’usage qui lui plaira, je m’en moque aussi parfaitement que d’elle ; mais ce qui m’intéresse, ce sont les droits que j’ai sur la reconnaissan-