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Que j’aime le Petit Couvert
Où dans un tête-à-tête aimable,
Ma maîtresse avec soin me sert
Le mets qu’elle rend délectable ;
Qu’un flacon devient précieux,
Quand sa belle main le débouche ;
Je préfère au nectar des dieux,
Le vin que parfume sa bouche.

Pour faire la digestion
N’écoutant qu’un désir extrême,
Je mets Flore en position
Et la fous sur la table même.
Bientôt, pour dessert tour à tour,
Tout notre être au plaisir se livre,
Le foutre est du parfait amour
Et ce jus divin nous enivre.