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vapeurs cornifères. Pour ne pas faire d’enfans, on mouche la chandelle, on se sert de redingottes à l’anglaise, c’est au mieux. Mais le con a servi, et le mari qui est instruit, ou qui vous prend sur le fait, peut dire je suis cocu ; la femme n’a pas un mot à répliquer. Eh bien, fouteurs et garces paillards et putains, pour clore le bec à tous grognards de maris, gamahuchez, branlez, foutez en bouche, en tetons, en aisselles, en cuisses, et pour terminer, en cul ! Le domaine du con reste au mari. Le reste vous appartient, et comme dit la chanson :