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y trouve une motte couverte de mousse, il éprouve une tentation, il y succombe, il bande, une élévation garnie de gazon se trouve là fort à propos, la jeune fille tombe sur le côté, la jambe en l’air, elle montre une cuisse potelée, un con rubicond dont les lèvres entr’ouvertes appellent un vit. Il lâche le sien, et plaçant cette jambe sur son épaule, il fout la princesse en deux temps, et les culs des acteurs font chorus pour arriver à la décharge et inonder de foutre le gazon que doit féconder cette douce rosée. Ensuite en reprenant haleine, notre fouteur chante sur l’air :