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qu’au moment de décharger, sans cela vous seriez réduit à battre les murailles à droite et à gauche, sans pouvoir en finir. Avec de semblables carcasses, il faudrait avoir une pièce de quatre ou de huit dans son pantalon, et avoir dix hectolitres de foutre dans des couilles à la potiron. Nous avons trouvé un moyen de parer à ces inconvénient si graves. Un fouteur doit toujours avoir dans sa poche, une pince à ressort, ou un de ces morceaux de bois fendus dont se servent les marchands d’estampes et les blanchisseuses pour arrêter les gravures ou le linge sur les ficelles. Peut-être qu’un jour un raccommodeur de faïence trouvera le moyen de mettre des attaches aux cons trop larges ; ce serait une superbe invention à brevet : alors les pucelages seraient plus communs : ce serait un grand bienfait pour les professeurs de fouterie et leurs élèves.