25. Occupe-toi de l’herbe des champs ; fauche tes prés et recueille du fourrage durant l’été,
26. Si tu veux avoir des brebis pour te vêtir. Cultive tes champs pour avoir des agneaux[1].
27. Mon fils, tu tiens de moi des préceptes sûrs pour ta vie et pour la vie de tes serviteurs.
CHAPITRE XXVIII
1. L’impie prend la fuite, quoique personne ne le poursuive[2] ; le juste est ferme comme un lion.
2. Les péchés des impies excitent des querelles ; l’homme habile saura les éteindre.
3. L’homme hardi dans son impiété trompe les pauvres ; il est comme une pluie violente et désastreuse ;
4. De même ceux qui délaissent la loi louent l’impiété[3] ; mais ceux qui aiment la loi s’entourent d’un rempart.
5. Les méchants ne conçoivent pas la justice ; mais ceux qui cherchent le Seigneur ont l’intelligence de toute chose.
6. Mieux vaut un pauvre qui marche selon la vérité qu’un riche trompeur.
7. Le fils intelligent garde la loi ; celui qui mène une vie déréglée déshonore son père.
8. Augmenter sa richesse par l’usure et les biens illicites, c’est thésauriser pour l’homme miséricordieux envers les pauvres[4].
9. Quiconque détourne son oreille pour ne point entendre la loi, sa prière sera en abomination au Seigneur.
