Page:La Sainte Bible de l’Ancien Testament d’après les Septante et du Nouveau Testament d’après le texte grec par P. Giguet - tomes 1 à 4, 1872.djvu/1782

Cette page n’a pas encore été corrigée

15. La pluie, en hiver, tombant dans une maison en chasse le maître ; il en est de même d’une femme querelleuse dans sa propre maison.

16. L’aquilon est un vent rigoureux, et pourtant il est réputé de bon augure.

17. Le fer aiguise le fer ; ainsi l’ami ranime le visage de son ami.

18. Qui plante un figuier en mange les fruits ; qui barde son maître sera honoré.

19. Les visages ne ressemblent point aux visages ; ainsi en est-il des pensées des hommes.

20. L’enfer et la perdition ne sont jamais rassasiés ; de même les yeux des hommes sont insatiables ;

20. l’œil imprudent et la langue déréglée sont en abomination au Seigneur.

21. On éprouve par le feu l’or et l’argent ; l’épreuve de l’homme est la bouche de ceux qui le louent.

21. Le cœur déréglé cherche à faire le mal ; le cœur droit cherche à s’instruire.

22. Tu auras beau flageller en pleine assemblée l’imprudent qui se déshonore, tu ne lui ôteras point son imprudence.

23. Apprends à bien connaître les besoins de tes brebis, et applique ton cœur au soin de tes grands troupeaux.

24. La force et le pouvoir de l’homme de durent pas des siècles ; ils ne passent pas de génération en génération.