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/,64 TABLE ALPHAliÉïiQUE ET ANALYTIQUE gnité de notre nature, maxime a3o. — Quand les méchants sont le plus dangereux , a84- — La malice n’est pas la prin- cipale cause de la médisance, 483. — Les méchants mêmes respectent la vertu, 489. La moquerie doit être exempte de malignité , Rii- fl ex ions diverses, p. 827 et SîS. Mécompte. Ce qui fait le mé- compte dans la reconnaissance, maxime 2 25. Ce que produit le mécompte de nos jugements, lie flexions diverses, p. 3 12. Médée. Ses poisons et ses parri- cides, Réflexions diverses, j). 343. Medicis (Marie de) , reine de France. Ses malheurs , Ré- flexions diverses, p. 33 1 et 332. — C’est elle qui a élevé Riche- lieu à la dignité de cardinal et de premier ministre ; ingra- titude de ce dernier ; elle avait peu de vertus et de défauts qui la dussent faire craindre ; elle est morte de misère et presque de faim, p. 332. MÉoiRF, Médisance. On médit de soi plutôt que de n’en rien dire, maxime i38. — Il y a des louanges qui médisent , 148. — La vanité est cause de médisance, 4^3. Il ne faut pas médire de l’amour , Réflexions diverses , p. 3x1. MÉFIAîiCE. Voyez DÉFIANCE. MÉ.MOIRE. Chacun se plaint de la sie)ine, maxime 89. — Nous en avons trop et trop peu, 3i3. Meksokge. Voyez DÉGuiSE,’»rEîiT, Fausseté, Imposture. — D’où vient notre aversion pour le mensonge, maxime (i3. Méprendre (Se). Voyez Trom- per (Se). MÉPRIS (</ue ton ressent). On méprise ceux qui n’ont aucune vertu, maxime i8f). MÉPRIS [que ton inspire). La modération est une crainte de mériter le mépris, maxime 18. — Le craindre , c’est le mé- riter, 322. Les vieillards sont mépri- sés. Réflexions diverses, p. 347. Mépris de la mort. oyez Mort. Mer. Elle est une image de l’a- mour-propre, mn.iime 563. Comparaison entre la mer et l’amour. Réflexions diverses^ p. 299 et 3oo. Mérite. Voyez Qualité , Ta- lent, ERTu. — Singulière pré- tention de ceux qui croient avoir du mérite, maxime 5o. — Comment nous jugeons du mérite de nos amis, 88. — Ne pas détromper ceux qui s’en croient, 92. — Marque d’un mérite extraordinaire, 95. — Pourquoi nous exagérons celui des autres, i43. — C’est à son mérite qu’on attribue les louanges qu’on reçoit, i44- — Rôle de la nature et de la fortune à l’égard du mérite, i53, et Réflexions diverses, p. 3i5 et 3 16. — Quelquefois le mérite est loin de plaire, maxi- me i55. — Singulier mérite de certains hommes, i56. — Le vrai mérite dépassé par la mé- diocrité, 162. — Il attire l’es- time des honnêtes gens, i65. — Il est moins récompensé que ses apparences, iGfi. — Triste mérite de certains hommes, 273. — D’une façon de faire valoir notre mérite, 279. — Il a sa saison , comme les fruits , 291. — D’un certain mérite que ne peut avoir la modéra- tion , 293. — Le goût baisse avec le mérite , 879. — Il y a